Hop là, alors que je masterisait agone hier soir, un de mes joueur, une méduse conjuratrice a eu pour idée de conjurer pas moins de 24 opalins afin proteger une revolte menacée de repression. Considérant son score raisonnable en démonologie et les conseil de sa saranée, j'ai estimé le plan jouable d'autant qu'il a écourté les discussions interminable des autres Pjs qui se sont chamaillés sur la manière de faire.
Conscient de l'ampleur de la decision qui est prise, je prépare soigneusement avec le joueur la suite de conjurations, lui fait jouer la négociation des encres, vérifie qu'il est en mesure de conjurer autant d'opalin (facile) et avant la tombée de la nuit (moins facile) et commence à calculer les point de tenèbres (hé hé

).
Mais voilà il a fallu que le joueur inconscient parvienne à faire un fumble de 20 à l'une des conjurations et consultant mon tableau en bon Eg et là je voit que ma conjuratrie préférée a déclenché un evenement non mortel mais potentiellement dangereux. Une idée me passe alors par la tête et verifiant la dangerosité d'un tel imprévu, j'explique au joueur que son personnage a malencontresement avalé de l'encre de conjuration transparente alors que le minautaure qui l'assistait lui avait donné un rafraichissement.
Evidemment il y avait un effet direct sur l'inspiré : Coma pour 7 heures. Et comme la connivence alors signée précisait une obeissance au conjurateur, les inspirés on du monter une opération de sauvetage avant la tombée de la nuit et de l'attaque tant redoutée.
Pendant ce temps, je planchait sur les effets à plus long terme de l'encre, et là j'apprend que le fait de l'avoir avalée pourrait donner naissance à un diablotin
dixit l'art de la conjuration.
Eminence voià la question qui est mienne après un si long exposé : dois-je faire grandire un démon à l'interieur du ventre de l'inspirée ? Est-ce un exemple suffisant pour démontrer la dangerosité de la conjuration et l'aura maléfique qui entoure cet art pas comme les autre ? Comment gerer un la suite allechante de cet imprévu ?