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[EG ONLY] Encyclopédie késhite : mes participations


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MessagePublié: 30 Août 2007, 13:59 
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Bon j'avais commencé à écrire deux trois petites choses pour ma campagne stancienne donc mais je remets çà à plus tard. En attendant j'opte pour mettre mes idées dans un document qui me servira tout comme pour lorgol de guide.

Voilà donc ma première proposition qui allait de pair avec celle du Felorn.
Citer:
SIMURGH

Apparence
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De grande taille, les simurghs étaient pareils aux oiseaux de proie nocturnes, ils pouvaient transporter en leurs serres chameaux et elwals. Grands flegmatiques, leurs gestes étaient calculés et jamais une chasse ne dura plus que le temps d'avoir faim. La rapidité en faisait des prédateurs redoutables mais respectés pour leur respect de la victime, achevée avant qu'elle ne se rende compte d'avoir été choisie comme repas.
Leur plumage de chouette, roux aux reflets cuivrés, était admiré des peintres pour ses couleurs chatoyantes. Beaucoup s'essayèrent à en capturer pour en récupérer des plumes et en extraire une teinte. Jamais ils n'y parvinrent. Leur demander simplement une plume, d'une vive voix polie, aurait pourtant suffit pour que cette créature pacifique et généreuse la leur offre.

Habitat
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Nocturne comme les oiseaux de proie auxquels ils ressemblaient, le simurgh aimait à se trouver refuge pour le jour, un Vestige ou un lieu emplit d'éclat, à l'abri du soleil . La nuit, on avait plus de chance d'en voir un si l'on regardait haut dans les branches des Arbres-à-Lettres qu'ils affectionnaient. Toujours, ils furent des animaux à chercher la fraîcheur, qu'elle vienne de la nuit ou d'un cours d'eau. La plupart pouvait d'ailleurs se rencontrer dans la Vallée des poètes où les Eaux Chantantes, ensemble de rivières convergeantes serpentaient dans une forêt d'Arbres-à-Lettres.

Moeurs
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Excellence très douce et compréhensive en dehors de la chasse et des serpents (animosité farouche qu'on ne s'explique guère encore), ces oiseaux étaient très appréciés pour leurs conseils avisés. Les Muses avaient confié à leur enfant leur sagesse mais aussi l'objectivité qu'elles n'avaient pas, afin que si besoin était, ceux-ci puissent les conseillers dans leurs actions avec un avis extérieurs et neutres. Pourtant lorsque vint la Guerre des Eternels, elles furent déçues que les simurghs ne daignent attaquer leur Ennemi voir les défendre. Le paroxysme de la frustation fut atteint lorsque l'un d'entre eux se laissa approcher par le Vagabond. Mielleux, celui-ci cru bon de se montrer sous un bon jour. Après quelques échanges seulement, il se rendit vite compte que sa flatterie et sa cajolerie n'atteindrait jamais l'animal. Dégouté tout d'abord, il apprécia que l'enfant de ses mères répondent à ses interrogations et l'écoute comme n'importe laquelles d'entre elles. Aussi jamais aucun simurgh n'eut à craindre l'Eternel. Celui-ci, ayant acquis pour la première fois de son immortalité le respect désintéressé d'une créature, en fit son confident. Il alla jusqu'à ne pas chercher à le corrompre et défendre à ses serviteurs de nuire à tout autre simurgh. Les Muses furent prodondément en colère suite à cette relation troublante, aussi lorsque Janus édicta sa sentence sur les saisons qui allait condamner l'existence des simurghs, elles ne firent rien. Le Masque fut lui attristé. Surpris lui même par un tel comportement, il en resta troublé et incapable. Le simurgh disparut ainsi, rejeté et oublié de la surface de l'Harmonde.

Drame
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Autrefois très apprécié par les différents peuple pour apporter la réponse à toute question qui leur était posé, les simurghs acquirent une sombre réputation après avoir eu l'Ardent comme interlocuteur. La conséquence de leur réponse amena en effet les évènements qui conduisirent au Feu des Origines. Dans un voeu de silence, ils se fermèrent aux autres mortels. Ceux-ci en conçurent une profonde amertume qui, ajoutée à la rancoeur d'avoir été le facteur du ravagement de Keshe, les amena à le mépriser et parfois même à le chasser. L'animal aurait ainsi atteint l'extinction dans la pure indifférence de tous, si un bien étrange satyre ne vint pas un jour proposé à ses créatures un havre de paix. D'abord méfiantes à l'égard d'un tel être, elles n'acceptèrent que parce que se savaient perdues dans le contexte actuel. Ashasvède, harmoniste de la Geste talentueux au point d'en être immortel, conduisit alors une dizaine d'entre elles dans la Vallée des Poètes. En un rituel alliant la magie du Pollen à la Geste, ce lieu touché par la grace des Muses fut coupé de l'Harmonde.

Fiche
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à complèter

Compétences : toutes celle de Savoir et Occulte à 20

Note : un simurgh a la connaissance universelle de tout ce qui est avéré comme étant la vérité au moment où il s'en enquière.


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