Agone - Entretien avec Raphaël Granier de Cassagnac
Agone - Le jeu de rôles 
 
 
Mathieu Gaborit et Raphaël Granier de Cassagnac se succédèrent pour construire une nouvelle en épisode, introduisant les suppléments Agone. Vous pouvez lire l'intégralité de ce texte ici ! Ce questionnaire a été envoyé à Mathieu Gaborit et Raphaël Granier de Cassagnac... Leurs réponses sont indépendantes, enfin normalement...


Pour lire les réponses de Mathieu, cliquez ici.

 

Raphaël Granier de Cassagnac
 
Raphaël Granier de Cassagnac

         
Souffre-Jour : Pourrais-tu nous présenter ces nouvelles et expliquer leur place dans Agone, le jeu de rôles dans les Royaumes crépusculaires ?

Raphaël Granier de Cassagnac : Oui, je peux essayer... Elles constituent une intrigue un peu à part de celles qui sont développées dans les différents drames de la gamme. L'idée était juste de situer Agone, le héros de Mathieu dans les Royaumes crépusculaires du jeu de rôle, 40 ans après les romans... Mathieu en a profité pour démarrer le superbe drame de l'âme des cités ! Finalement, je crois que cette intrigue en a inspiré plus d'un... Un bref instant, nous avions même pensé développer les cités corrompues dans un hypothétique supplément sur la menace. En vérité, l'histoire a bien failli dépasser ses auteurs, comme c'est souvent le cas.



Souffre-Jour : Comment t'es tu retrouvé chargé d'écrire ces textes ?    

Raphaël Granier de Cassagnac : Mathieu s'était éloigné de la gamme et n'avait plus trop le temps de suivre ce qui se passait. Je crois me souvenir que c'est lui qui m'a demandé de reprendre le flambeau, pour ne pas dire la flamme. 

           

Souffre-Jour : Comment s'est déroulé le passage de flambeau avec Mathieu ?     

Raphaël Granier de Cassagnac : Superbement bien ! Quitte à te décevoir, ni Mathieu ni moi ne savions où nous allions à chaque épisode. Quand il m'a refilé le bébé - pardon le papy, Agone n'étant plus tout jeune - j'avais carte blanche. J'ai écrit la plupart des nouvelles dans l'urgence, en inventant au fur et à mesure. Franchement, je fonctionne souvent comme ça, et je ne regrette pas.
Le résultat n'est pas trop mal, si ?   

           

Souffre-Jour : Avec le recul, que t'inspire ce travail ?    

Raphaël Granier de Cassagnac : Pas grand chose... A part le fait qu'il était assez troublant d'écrire l'histoire d'Agone qui n'est pas mon personnage, mais finalement pas difficile.     

           

Souffre-Jour : As-tu eu un retour de la part des lecteurs ? Quelles ont été leurs réactions ?
   

Raphaël Granier de Cassagnac : J'en ai eu quelques uns, surtout de ceux que l'histoire de l'âme des cités inspirait et qui voulaient la faire jouer à leur table. En général, ils voulaient surtout savoir la suite !



Souffre-Jour : Et la question qui n'en es pas une, une tribune libre, pour nous expliquer ce que tu veux, même au sujet de l'astrologie chinoise... tu as la place que tu veux.    

Raphaël Granier de Cassagnac : Je pourrais te raconter pourquoi je n'ai pas réussi à prendre plus de 10 minutes pour répondre à ton interview, mais ca prendrait du temps non ?     

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