Correcteurs |
Eminences minutieuses, les correcteurs sont les impitoyables alliés du rédac' chef, qui veillent sans pitié à l'intégrité des articles d'auteurs distraits ou dyslexiques. C'est grâce à leur patience infinie que le Souffre-Jour sert à être lu.
Pour vous donner une idée de leur rôle, voici le processus standard suivi par un texte du Souffre-Jour :
Rédaction Relecture 1 – on y discute des idées et de la forme, du style, du respect de la langue française. Le rédac'chef intervient par ici, en plus, en se concentrant sur le fond. Relecture 2 – on y discute surtout de la forme, et on aboutit à une version finale. Certains textes nécessitent plus de relectures de ce type, ça prend du temps mais cela permet d'arriver à un texte vraiment abouti. Le deuxième relecteur n'est évidemment pas le même que le premier. Relecture finale – elle est réalisée par le correcteur en chef qui traque les dernières fautes et vérifie encore une fois la conformité avec les règles de typographie choisies par le Souffre-Jour. Validation – c'est le rédac'chef qui s'y colle et qui vérifie une dernière fois que le texte est prêt à être maquetté. Relecture sur maquette – la dernière, pour les quelques fautes qui sont encore passées au travers.
Découvrez ici l'équipe de correction :
Le correcteur en chef :
Jérôme Isnard, alias Blanchécrin : flanqué d’un pitoyable diablotin, ce minotaure marseillais prend plaisir à noyer ses Inspirés dans de complexes intrigues. Quand on sait qu’il est surnommé Zgueg, qu’il est vétérinaire et qu’il se spécialise dans la reproduction, on se dit qu’il reste un espoir pour les minotaures : vivent les vaches ! En plus il tient la bourse du Souffre-Jour…
Il succède à Benoit Huot, correcteur final des niméros 1 à 4
Les correcteurs :
Benoit Huot : ce réfractaire aux surnoms par pure fainéantise de trouver le sien officie dans l'ombre de son écran. Traquant et corrigeant les fautes qui lui tombent sous la main, veillant un peu quand même à la fabrication, il a corrigé de nombreux suppléments Agone et ne dénigre pas de temps à autre guider ses Inspirés sur des terres qu'il leur reste à bâtir.
Guillaume Bourassé, alias l'EGM (Éminence Grise Machiavélique, ou Génétiquement Modifiée) : Une Éminence, qu'elle est vachement dangereuse de jouer avec, réputée méchante pour tout ce que l'Harmonde compte de joueurs et joueuses (moins avec les joueuses, j'avoue). A écrit diverses aides de jeu et drames pour Agone, c'est son jeu préféré auquel il joue depuis sa sortie, tout ça tout ça.
Pierre Coppet, alias le Mérou Masqué : c'est un homme – la plupart du temps – et une femme – rarement. Ses cheveux sont bruns, et blonds, et roux, et chauve et ses yeux sont bleus, jaunes, rouges et bruns. Mesurant entre un mètre et deux mètres cinquante, son phénotype à mutation rapide rend vain tout effort de catégorisation et reconnaissance. Une chose est sûre: il aime les mangues.
Grégory Dardonville, alias Adonaë : Cluricaune des caves orléanaises tombé dans un tonneau d'hydromel quand il était petit. Depuis il raconte n'importe quoi sur un complot mondial associant Templiers et Mafia Coca... Qualité : il rêve pour tous ceux qui ne le font plus et croit aux Fées si fort qu'il en existe encore. Défaut : il rêve un peu trop parfois et croit encore au Père Noël...!!!
François-Xavier Dauphin, alias FéliXNemroD : Ogre Advocatus Diaboli, nantais d’adoption, cette EG ravagée tente désespérément, par le biais de lectures de toutes sortes, de pallier son incapacité avérée à s’adonner aux legs des Muses. Heureusement pour lui, il considère la rédaction de connivences comme un art à part entière…
Fabrice de Boni, alias Alraune : EG mégalomane aux pattes de bouc et cracheur de rêves, il tisse au fil des chemins les mensonges et les secrets des légendes de l'Harmonde. Agonien amoureux, ce jeu l'a rendu fou à force de prouver qu'il ressemblait tant aux symboles quotidiens : « Y a des correspondances partout !! Aaaah !! ». « Schizophrénie ? » murmurent ses joueurs…
Nadège Debray, alias Miss Mopi : En quittant cette dimension pour l'Harmonde ou la Toile, cette auteur d'Agone devient fée noire. Cette nouvelle personnalité, plus sage et patiente, aime partager ses lectures, sa passion pour l'Harmonde, et le reste aussi. Lorsqu'elle redevient humaine, elle lit, elle fait parfois du jeu de rôle, elle écrit et elle travaille pour pouvoir faire le reste.
Julien Desse-Baude, alias Aenur : Ce lutin facétieux des forêts normandes est complètement incompris par ses pères et ceci à cause de son humour grinçant – serait-ce dû à son sang de pixie coulant dans ses veines ? Son rapprochement du Souffre-Jour est à porter au crédit de la fée noire que vous connaissez tous…Miss Mopi.
Frédéric Deux, alias Fred 2 : EG privée de ses joueurs auvergnats, ce satyrin naïf n’a pas hésité à coloniser le midi toulousain pour y trouver de nouvelles victimes. Mais comme il est à peu près aussi rapide dans la mise en place de ses parties qu’un Gros d’Abyme aux 100 m, les dites « victimes » patientent, et patientent encore... son investissement dans le Souffre-Jour ne va pas accélérer les choses !
Vivien Feasson, alias Mangelune : Véritable artiste de la Geste (ça c'est lui qui le dit), doté par les Muses d'un caractère de cochon propice à la critique déconstructive (ça c'est les autres qui le disent), il vit en dépit de toute logique au coeur même de l'Auvergne, loin des chaos de la capitale. L'imaginaire sous toutes ses formes constitue sa seule passion, et il se verrait bien en artiste complet sans son talent limité pour tout ce qui touche à l'art !
Nicolas Grevet, alias Thabanne : ce curieux spécimen de rôliste-garou toulousain se cache le jour derrière une blouse blanche. La nuit venue, il martyrise son clavier et de pauvres naïfs pris au piège du Souffre-Jour. Il a commis quelques pages pour Agone et se complaît à fouetter auteurs et autres illustrateurs afin de faire vivre le Souffre-Jour – le site, et le fanzine. Ben oui, c’est le rédac’chef.
Jean-Philippe Ghibaudo, alias Le GDF ou Le Grand Dragon de la Foudre : il a reçu ce surnom ridicule depuis belle lurette. Il aime parcourir le manche de son cistre tout autant que chercher des explications "scientifiques" aux phénomènes harmondiens (Physique). La lecture et l'écriture dictent aussi sa vie, mais surtout cette Ergastule munie d'un pavé de contrôle.
Stéphane Magnan, alias Encelant : raclure immonde (d'après ses Inspirés), cette EG marseillaise a proprement ravagé l'Harmonde au cours d'une saga aussi épique qu'apocalyptique. Révolutionnaire de la première heure, il a rédigé quelques articles gentiment qualifiés de non-conformistes par les EG les plus polies, d'où son surnom d'EG folle, puis a été recruté par Thabanne pour le Souffre-Jour.
Olivier Némitz, alias GONO : EG plus ou moins régulière à Agone depuis la sortie du jeu. Bien qu'informaticien, il n'a toujours pas pris le temps de créer une belle page web dédiée à ce jeu, mais comme on dit les cordonniers sont toujours... Il désespère de pouvoir un jour être joueur à ce jeu. Récemment, il a quitté sa Bourgogne pour aller s'installer dans la verte Haute-marne, désert s'il en est au niveau des rôlistes...
Stéphanie Sesquières-Isnard alias Eléane : embauchée de force par son souteneur de mari, cette lutine traque les fautes et les incohérences avec une acuité aussi redoutable qu'efficace. Bref, ne la contrariez pas, souriez lui et partez en courant. Afin d'éviter de mourir dans des souffrances atroces, je précise que tout ceci n'est qu'une exagération censément drôle de la réalité. Sauf pour sa capacité à traquer les fautes... vous dites ? Je m'enfonce ?
Fabrice Vincent, alias Malthus : Farfadet à mi-chemin d’être corrompu par les secrets d’Agone (Eh oui c’est un PJ), goûte encore au joies de la vie estudiantine dans la douce Normandie. Il aime faire des blagues vaseuses avec son éminence et se perdre dans des récits medfans. Il remercie une certaine fée noire qui part ses connaissances a pu lui ouvrir les portes de l’échiquier du Souffre-Jour.
Lionel Jeannerat, alias Nonène : Éminence Grise, éclipsiste et harmoniste de la Geste, il rédige des cahiers gris sur les contrées hostiles de la République Mercenaire. Dans le civil, il est une des preuves vivantes de l’internationalité d’Agone, en vivant dans un ancien pays mercenaire, la Suisse. Apprenti professeur dans sa vie réelle, il se ressource dans les récits et paysage de l’Harmonde.
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