Illustrateurs |
Que serait le Souffre-jour sans le talent de ceux qui le dessinent ? Voici les artistes du décorum à qui nous devons les images de l'Harmonde.
Maud Chalmel alias Groseille : Illustratrice du royaume crépusculaire mais aussi petite étudiante débordée. Fée noire muée ogresse - changement radical, soit. - engrossée qui plus est, aurait tendance à péter les plombs et à s'enflammer violement sous les "ça urge" d'une certaine Farfumaine-rédac-en-chef dont nous tairons le nom...
Boris Courdesses alias le Canard : Illustrateur d’œuvres aussi connues que le Violon de l’Automne, le livre de base d’Agone ou la Gazette des pompiers d’Evry-Courcouronne, sont talent est reconnu depuis l’antiquité. Qui pourrait conter la finesse, la profondeur ou les nuances de ses nymphettes dénudées ? Pas moi. Alors je vais parler de ma vie. Hier, j’ai acheté une pizza au thon et le vendeur m’a refilé du saumon. Je hais le saumon…
Tibéon : Ce lutin fort agréable reste tout même plein de lubies. A ces heures perdues, il lui prend de dessiner ou encore d'écrire, ou de composer, de jouer de la guitare pour enfin se rendre compte qu'il doit faire son illustration pour le fanzine. Le but pour lui, c'est d'y penser avant le coup de fouet de Lionna.... Particularités de ce lutin: des cicatrices! plus... Pleuk alias Paul Mager : Minotaure pacifiste parfumé à la violette ("Comment ça je sens la VACHE !?"), l'Harmonde prend vie au bout de son pinceau et au fil de ses rêveries. Il est aussi passé maître dans l'art de gober les mouches d'un coup de langue, après avoir laissé sa mâchoire béante des heures durant.
Gaël Beuret alias Iko : Novice en illustration de jeu de rôle, cet amoureux de manga, de tuning et de jolies filles a été perfidement séquestré au Souffre-Jour alors qu'il était saoul. Depuis, il dessine jour et nuit dans les tréfonds d'un humide cachot de Nonène.
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